Les guidelines de Google sont un prérequis à tout essai en matière de SEO, chaque agence de référencement naturel est en soi concernée. Elles revêtent un caractère informatif et particulièrement apprécié lorsque les équipes du moteur de recherche les mettent à jour. En juillet de cette année est également paru un guide concernant la qualité des pages du point de vue des quality raters. Dans les deux cas, l’initiative première de ces documents est d’informer les équipes des règles concernant le search. Rendues publiques par une certaine volonté de transparence, elles font aujourd’hui l’objet de nombreux commentaires. Attachons-nous ici au guide de démarrage de Google, un document qui fait encore autorité de nos jours et qui fait l’objet de la source en fin d’article.
- Qu’est-ce que les guidelines de Google ?
- Bases de l’optimisation SEO
- Création de titres uniques et pertinents
- Exploitation de la balise meta description
- Amélioration de la structure du site
- Structure des URLs
- Optimiser la navigation sur le site
- Optimisation du contenu en SEO
- Contenu et services de qualité
- Les anchors text
- Optimisation des images
- Balises d’En-tête
- Travail avec les robots
- fichier Robots.txt
- Comprendre le nofollow
- Optimisation mobile
- Promotion du site Internet
- Utilisations des outils gratuits pour Webmasters
- Conclusion et liens
Que sont les guidelines de Google ?
Ce sont avant tout un ensemble de recommandations faites aux Webmasters tant en termes de contenus, de conception que de techniques de référencement utilisées. Ces recommandations tombent le plus souvent au compte-goutte au détour d’interventions des ingénieurs de chez Google. Cet ensemble d’informations, orienté vers l’approche utilisateur définit la qualité d’un site aux yeux du moteur. En se conformant aux règles établies, le webmaster ou le référenceur s’oriente vers une approche de techniques de référencement White Hat. Ne pas s’y conformer implique la prise de risque de pénalités voire de tout simplement la suppression du site des résultats de recherche. Ci-dessous une vidéo explicative :
Les bases de l’optimisation en SEO
Pour commencer, et si vous êtes assidu(e) de nos publications, vous allez dans un premier temps découvrir des évidences ; Google propose ainsi dans son document le minimum des règles connues de la plupart des acteurs du Web. On commence donc avec la création de titres de pages uniques et pertinents.
Créez des titres de pages uniques et pertinents
Pour commencer, Google nous invite à étudier les titres de documents. Ceux-ci sont appelés liens bleus ou balises title. C’est un élément décrit comme pertinent pour l’utilisateur (et ô combien !). De manière fine, en double-lecture, les éditeurs du guide de démarrage vous expliquent que ce titre devant apparaître dans la balise <head> de votre document HTML doit correspondre à la recherche de l’utilisateur (à l’époque de l’édition encore présente dans la SERP, cet élément apparaissait même en gras en fonction de ce que tapait l’internaute). En matière d’optimisation, il faut donc en conclure qu’il doit y avoir cohérence entre le contenu du document unique et ce titre pour qu’il y ait probabilité d’apparition lors de la recherche. Voici d’ailleurs les meilleures pratiques proposées par Google :
Décrivez le contenu de la page de façon pertinente
Et évitez ainsi de prendre un titre n’ayant pas de rapport.
Créez des balises <title> uniques pour chaque page
Pour permettre à Google de comprendre la différence entre ces contenus
Utilisez des titres courts mais descriptifs
Évitez ainsi d’utiliser des mots clés inutiles et limitez le texte pour l’utilisateur. Sur ce dernier point, et bien que la title puisse être tronquée, il faut bien dire que nombre de référenceurs jouent sur la longueur plutôt que sur de courtes descriptions.
Utilisez la balise meta “description”
Résumé de contenu, la meta description peut être utilisée par Google comme extrait. Les termes tapés par l’internaute apparaissant en gras, le moteur de recherche y voit ici un fort intérêt pour l’utilisateur et en soi, c’est le cas. Incitative, la “meta desc” comme on l’appelle est un moyen d’améliorer la pertinence du résultat. Voici les meilleurs pratiques issues des guidelines :
Résumez le contenu de la page de façon pertinente
La pertinence, maître-mot relaté tout au long du document implique ici de faire un texte d’accroche en lien avec le contenu de la page, de ne pas la remplir de mots clés uniquement, de ne pas reprendre du contenu apparaissant dans la page en copié-collé et d’éviter du texte générique.
Utilisez des descriptions uniques pour chaque page
Vous serez potentiellement alerté si vous utilisez toujours les mêmes meta descriptions. Toutefois, il apparaît parfois compliqué de mettre en place cette règle partout sur de très gros sites en raison de son faible impact en termes de référencement naturel. Cette base SEO est donc clairement orientée à l’usage des utilisateurs. Soignez vos meta descriptions tout de même !
Amélioration de la structure d’un site
Les précédentes et simplissimes recommandations précédentes avaient pour objectif d’améliorer ce que l’on appelle le in-page. Ces petits éléments de codes qui doivent être complétés par d’autres usages que vous retrouverez un peu partout sur ce blog. Mais évidemment, la lecture tant humaine que du point de vue du robot ne peut se faire qu’en ayant conscience de l’organisation de son site et donc de sa structure. Commençons par les URLs.
Améliorez la structure de vos URLs
C’est ici la troisième remarque en termes de bases SEO. La qualité des URLs permet d’améliorer l’organisation du site et facilite l’exploration des documents en plus de donner des indications plus concrètes à l’utilisateur : L’ajout des mots clés permettait un temps même ainsi d’avoir un affichage en gras lors de la requête tapée. Les simplifier, les réduire aussi au stricts éléments utiles permet une meilleure approche moteur et utilisateur. Les pratiques proposées par les équipes de Google sont donc :
Utilisez des mots dans vos URL
Utiliser du texte est plus convivial et plus lisible.
Créez une structure en répertoire simple
Si les répertoires sont affichés de cette manière : /mot-cle/mot-cle-2, l’internaute y voit plus clair. Attention toutefois à ne pas multiplier les sous-répertoires. Par ailleurs, ne vous arrive-t-il pas parfois de supprimer une partie de l’url (slug) pour retrouver une catégorie de produits par exemple ? C’est ici que l’affichage ne doit pas conduire à une erreur 404.
Utilisez une seule version d’URL par document
Si plusieurs URLs permettent d’accéder au même document, songez à faire une redirection 301. De toute manière, ne pas le faire vous conduit à une duplication de contenu et, à défaut de pénalité, une perte de qualité significative contrariant le positionnement de vos pages.
Facilitez la navigation sur le site Internet
“Google attribue une certaine importance à comprendre le rôle d’une page dans l’ensemble du site”. Pour cela, il s’agit de créer une structure du répertoire simple à comprendre, y compris pour un utilisateur (ou internaute). Il est également conseillé de planifier la navigation à partir de la page d’accueil ou d’une page très fréquentée du site (une page racine). Mountain View nous rappelle dans ce passage également l’importance du fil d’ariane qui suit l’arborescence des différents répertoires comme nous l’avions déjà évoqué : La page d’accueil sur la gauche et plus on va vers la droite, plus on arrive vers du spécifique. Nous vous invitons à vous inspirer du fil d’ariane WordPress de ce présent blog par exemple.
Enfin, pour compléter ce chapitre, il est conseillé de créer deux sitemaps, un pour l’utilisateur (retraçant sur une page dédiée les différents liens vers les pages et articles du site), un pour le moteur (ce dernier représentant le fichier sitemap xml). Voici les meilleures pratiques selon Google concernant la navigation :
Créez une hiérarchie structurée de façon naturelle et intuitive
Relier chaque page du site à toutes les autres pages est ainsi clairement déconseillé de même que d’avoir la nécessité de faire de nombreux clics (une vingtaine dans l’explication) pour atteindre un contenu profond. La règle des 3 clics s’impose donc ici surtout d’un point de vue utilisateur et la partie référencement est traduite par le fait que lier ses pages toutes entre elles répartit la popularité de l’ensemble : à bannir donc. Évitez dans la mesure du possible les sous-menus et surtout les mega menus.
Utilisez principalement du texte pour tous les éléments de navigation
Les éléments gênants de type flash doivent être éliminés. En ce qui concerne le Javascript, Google s’est adapté depuis. Gardons à l’esprit que les menus déroulants, les images ou les animations diverses ne sont pas en soi parfaitement adaptés pour l’accessibilité. Pensez que vos menus sont des ancres à part entière qu’il convient d’exploiter !
Ajoutez un plan de site en html et un fichier sitemap XML
Une organisation de votre plan de site est préférable à une simple liste d’URLs. Enrichissez au mieux votre sitemap.xml également.
Créez une page 404 utile
Il est nécessaire d’en avoir une qui ne fait pas simplement le travail de vous dire que “oups, la page n’existe plus”. Proposez des liens pour retrouver un chemin dans le site et plus fonctionnel encore : mettez un outil de recherche sur le site Internet et la page 404.
Optimisation du contenu
L’optimisation du contenu si chère aux yeux des référenceurs entre en jeu : Le contenu, ce sont les services de qualité, la qualité des textes d’ancres, l’utilisation des médias et en particulier des images, l’utilisation des balises d’en-êtes (h1 -> h6). Une section des guidelines donc importante sur laquelle on peut gloser longuement.
Proposez du contenu et des services de qualité
Le contenu de qualité, c’est quoi ? C’est ici évoqué un contenu attrayant et utile. Google nous rappelle ainsi que “créer du contenu attrayant et utile aura sans doute plus d’impact sur votre site Web que chacun des autres points traités ici”. Pensez à la capacité de diffusion de celui-ci (le commentaire possible, las partage sur les réseaux sociaux…) et surtout anticipez les différentes interprétations de votre contenu : le langage adapté aux termes employés par votre cible en quelque sorte. Enfin, les guidelines traitées ici nous invitent à proposer du contenu et même des services exclusifs, que les autres ne proposent pas. Une partie parfois compliquée sur certains métiers comme vous vous en doutez.
Rédigez du texte facile à lire
On va donc s’appliquer à éviter les fautes d’orthographe et de grammaire, l’intégration de texte dans les images (les moteurs ne peuvent pas le lire). Soyez explicite même lorsque c’est technique.
Organisez le contenu et délimitez les thèmes traités
Faites des paragraphes, des sous-titres, des séparations visuelles.
Actualisez votre contenu de manière unique
Pas de réchauffé, pas de contenus pompés non plus, revenez sur ce qui n’est plus d’actualité.
Créez du contenu pour l’utilisateur et non pour le moteur de recherche
Trop de mots clés, ça n’a pas de sens pour l’utilisateur, cacher du texte non plus (là, vous risquez simplement la grosse pénalité). Nous vous invitons sur ce sujet à lire notre article sur la rédaction web pour l’utilisateur.
Améliorez la qualité des textes d’ancres (les anchors text)
Nous voici sur un sujet sensible qui vaut le détour ; Le fait qu’il fasse partie des recommandations de base est remarquable. Les anchor text désignent les textes de liens qui s’affichent pour les utilisateurs mais aussi et surtout dans le cas du référencement naturel pour le robot qui vient sur le contenu. En interne, la préconisation est donc plutôt d’utiliser un texte de désignation expliquant le contenu de destination. Ce qui nous donne ceci : <a href=”monsite.fr/poule/oeuf”>Les poules pondent des oeufs</a>. Globalement, la variété de ces ancres reprenant un mot clé est de mise. Voici ce que préconise Google :
Choisissez du texte descriptif
Là vous est proposé de ne pas faire du “cliquez ici” ou d’utiliser des ancres hors sujet.
Rédigez du texte concis
On évite de faire des paragraphes entiers cliquables, on se tourne vers des petits descriptifs d’ailleurs idéalement dans un contenu texte ou un paragraphe à l’exemple des liens que nous faisons sur cet article.
Formatez les liens pour les rendre faciles à repérer
On utilise donc le CSS pour les décorer au moins d’une couleur différente. C’est avant tout un élément cliquable pour l’internaute et on évite d’avoir des stratégies du type : “je cache mes liens”.
Pour les liens internes mais dés optimisés pour l’externe
Il fut une époque pas si lointaine où il était possible de s’amuser à ancrer de manière générique des sites tiers et recevoir des liens de même nature : On évite si l’on suit les recommandations de Google. Si vous devez faire un lien vers une page d’un site tiers, utilisez cette fois le “c’est par ici” ou le “voilà ce que dit untel” ou encore utilisez le nom du site en question. La bonne question à se poser est finalement de ne pas s’en poser avec Google : un aspect naturel à la manière de quelqu’un débutant dans le Web, la candeur d’un lien posé, cela fait plus “naturel”.
Optimisez l’utilisation des images
Vous trouverez un vrai gros sujets sur l’optimisation SEO des images dans notre blog. Google vous rappelle dans ce document que vous devez avoir des attributs alt distincts, le titre des fichiers, que vous devez également exploiter un répertoire dédié pour vos médias. Petit rappel : il est conseillé dans la mesure du possible d’utiliser un nom de fichier avec une extension (JPEG, GIF, PNG et BMP ??) correspondant au type de fichier. Voici les recommandations officielles :
Utilisez des noms de fichiers concis et descriptifs, renseignez la balise “alt”
Pas la peine de de faire des “copier-coller” de phrases entières, de rédiger des phrases explicatives. Bien entendu, évitez les génériques comme “image1.jpg” etc.
Indiquez un texte alt dans les images servant de liens
Pas trop longs surtout au risque de passer pour du spam, pas de successions de mots clés non plus.
Créez un fichier sitemap spécifique aux images
Pour des raisons de structuration et de compréhension, celui-ci sera similaire à celui des pages.
Utilisez adéquatement les balises d’en-tête
Rien à voir avec les en-têtes HTTP, ce sont les six tailles de balises Hx. La structuration et la hiérarchisation des contenus sémantiques de votre page sont primordiales. Elles permettent bien entendu initialement d’attirer l’attention des utilisateurs. Faites un résumé puis utilisez les H1, H2, H3, H4, H5, H6 avec modération et dans le seul but de bien structurer la page. Parfois, il convient simplement d’utiliser d’autres balises comme <strong> (gras) ou <em> (italique).
Pour notre remarque, la hiérarchisation est importante et révélatrice d’une habitude de fonctionnement ; il existe vraiment plusieurs solutions pour bien découper un contenu au profit de l’internaute, essayez de garder les mêmes pratiques sur l’ensemble de vos contenus.
Travailler avec les robots pour son référencement
Jusqu’à présent, et bien que du coin de notre esprit on pense secrètement à GoogleBot, les recommandations précédentes s’adressaient particulièrement à l’usage des utilisateurs. Dans le guide de démarrage, un chapitre traite des robots et de la manière de les exploiter. C’est parti.
Utiliser à bon escient le fichier robots.txt
Il est de nombreux contenus (si si) que l’on ne souhaite pas voir afficher dans les résultats de recherche (communément appelée la SERP) des moteurs de recherche. Le fichier robots.txt est un exemple concret qu’il vous est possible de configurer, indépendamment de toute technologie. Il se trouve à la racine de votre serveur. Un fichier robots txt sera utile par sous domaine. Utilisez de ce fait plusieurs Google Search Console pour les faire valider. Vous pouvez également faire usage des balises meta robots page par page. Voici les recommandations officielles de la firme :
Utilisez des méthodes plus sécurisées que le robots.txt pour les données confidentielles
Oui, parfois les moteurs de recherche peuvent indexer des pages tout de même. Peut-être avez-vous noté qu’à la conception d’un site WordPress en ligne le lien apparaît avec simplement la mention de blocage pour les robots en metadescription (c’est même assuré dès lors que vous ne faites que cocher la case “ne pas indexer” dans les réglages du CMS). De même, certains robots (et ils sont nombreux sur la toile) peuvent ignorer par non conformité les “Robots Exclusion Standard” et certains utilisateurs avertis contourneraient facilement par déduction de l’arborescence. Pensez à l’usage du HTACCESS.
Utilisez le rel=”nofollow” en en comprenant le sens
En mettant la valeur nofollow à l’élément rel d’un lien (allez voir notre dossier détaillé), vous demandez à Google de ne pas suivre ce dernier ou de ne pas transmettre la popularité de celui-ci. Les concepteurs du document insistent notamment sur le fait que les commentaires ont un aspect Spam. C’est même une sorte de définition du commentaire en tant que tel ; l’ajout donc de la rel nofollow sur les commentaires est indispensable. Bien qu’il soit possible de laisser son système de commentaires en dofollow sur le blog, c’est une prise de risque qu’il convient donc de modérer au mieux afin d’éviter “de mettre en danger la réputation de votre site“. Cette question de réputation transmise peut également se faire au travers des liens et citations de sites tiers. Bien entendu, Google rappelle que vous pouvez systématiser la chose via le format :
[pastacode lang=”markup” manual=”%3Cmeta%20name%3D%22robots%22%20content%3D%22nofollow%22%3E” message=”Balise meta robots nofollow” highlight=”” provider=”manual”/]Optimiser son site pour les mobiles
En rappelant l’importance du mobile, les guidelines nous donne quelques astuces comme le fait de signaler un site mobile. Ce paragraphe a particulièrement évolué mais avec le temps puisque les ingénieurs de chez Google mettent le paquet sur la question depuis quelques années.
Signalisation du site mobile
Si votre site n’est pas responsive, mettez à l’index la version mobile et préparez par exemple un sitemap pour mobile. Pensez également à guider l’internaute de la manière la plus adéquate en redirigeant celui-ci en fonction de la page sur laquelle il se situe et bien entendu en fonction du device qu’il utilise.
Il faut donc passer d’un contenu à l’autre en fonction du user-agent !
La règle est la suivante : Pour un contenu à destination de l’internaute, ce même contenu doit être identique pour Googlebot. Ce qui n’exclut pas le fait donc d’avoir une version différente en mobile. Il faut simplement que dans chaque type de contenu, Googlebot voit la même chose que l’internaute.
Promotion du site et analyse de données
Sans langue de bois, nous savons que la popularité d’un site joue considérablement sur sa promotion ; en d’autres termes, le lien retour ou backlink a une grande importance. Ici, il n’est pas fait cas des exercices de backlinking mais bien plutôt de la promotion par le blog. En claire, je rédige un article sur mon blog et je fais un lien vers mon produit pour le mettre en avant.
Publiez des messages sur les blogs et devenez expert dans votre thématique !
Et espérez que via notamment le flux RSS, “d’autres webmasters qui suivent de près votre site ou qui sont abonnés (…) peuvent également reprendre et faire passer l’information”.
La publicité hors ligne est également évoquée et Google Place devenu Google My Business aujourd’hui. Pour le moteur de recherche, les meilleurs pratiques consistent donc à :
- S’informer sur les sites de médias sociaux,
- Essayer d’atteindre les communautés similaires à la sienne
Il faut ainsi éviter au risque de passer pour un spammeur de :
- promouvoir chaque nouveau et petit fragment de contenu à la place des éléments volumineux et intéressants,
- Impliquer le site dans des schémas artificiels de promotion,
- d’envoyer du lien spam à tous les sites traitant du même sujet,
- d’acheter des liens d’autres sites dans le seul but d’améliorer le classement.
Utilisation des outils gratuits pour Webmasters
Nous vous invitons à consulter notre article traitant de la Google Search console, ce qui s’appelait avant Webmaster tools. Un outil gratuit mis en ligne par le moteur de recherche permettant de dialoguer avec les équipes, de voir le niveau d’indexation, d’identifier les problèmes et de comprendre un peu mieux logs et requêtes.
L’autre outil à explorer en détail est bien entendu Google Analytics pour mieux comprendre l’accession aux pages, les contenus populaires, l’impact des actions que vous allez faire sur votre site en commençant le référencement de ce dernier. Pour conclure, nous vous proposons plusieurs liens.
Conclusion et liens
Pour créer ce dossier toujours imparfaitement complet sur les guidelines, à destination de celles et ceux qui démarrent, nous avons repris un document qui doit être mis à jour par les échanges possibles sur différents supports, voici une liste non exhaustive de ressources pour vous aider dans vos premiers pas vers le référencement Internet :
Les consignes aux Webmasters :
https://support.google.com/webmasters/answer/35769?hl=fr
Le guide démarrage en référencement naturel SEO (document source du présent dossier) :
Webmaster Central Blog :
https://webmasters.googleblog.com/
Forum pour Webmasters de Google :
https://productforums.google.com/forum/#!forum/webmaster-fr
Suivez également les différentes publications faites par Google sur les réseaux sociaux comme Twitter.
Je ne sais pas comment dire ou quoi dire qui peut depasser le BRAVOOOO.
Super article !
Merci 🙂