Vous êtes dirigeant d’une entreprise et vous cherchez à accroître votre visibilité ? Le référencement apparaît comme l’une des solutions les plus communes sur laquelle de nombreux acteurs sont présents. Dans cet article, je vous livre les conseils les plus élémentaires et quelques éléments de réflexion qu’il faut avoir à l’esprit lorsque l’on souhaite être plus présent sur les moteurs de recherche. Lorsque vous avez adopté une stratégie de marketing orientée digitale, le SEO et le SEA apparaissent résolument comme de grands moyens d’acquisitions. La réalité est que ce n’est pas que le seul avantage mais nous y revenons plus loin.
Établir une stratégie de référencement d’entreprise
Nos nombreux clients le savent : Pour obtenir des résultats, il faut se fixer des objectifs quantifiables et qualifiables. De même, nous définissons en fonction de notre expérience ce qui relève des objectifs prioritaires et des objectifs secondaires. La grande propriété du SEO est de marquer un territoire et positionner le plus souvent durablement un site Internet sur un marché existant. A charge pour l’entreprise de proposer ensuite l’offre adéquate au trafic obtenu. Le SEA a lui l’avantage de positionner directement votre site Internet sur les offres que vous proposez ; A charge pour vous comme pour nous d’étudier avec grande précision, de manière ROIste la conversion de telles campagnes de Ads. Dans les deux cas, l’étude préalable et une réflexion sur la stratégie marketing est à mettre en place. Il est nécessaire pour cela de faire de la remontée d’informations qualifiant les moyens d’actions en découlant.
Nous avons pour habitude (et nos fidèles lecteurs le savent) de décomposer le référencement naturel en plusieurs axes d’étude :
- Le on-page et le off-page d’une part,
- La partie technique et la partie sémantique d’autre part.
Ces questions font l’objet d’une étude approfondie dans l’audit SEO que nous proposons aux petites, moyennes et grandes entreprises qui nous sollicitent. Les enjeux sont forts à bien des égards sur le SEO car cela permet d’établir une rampe de lancement sur le social media, la E-reputation, l’E-mailing en plus des ventes générées du fait même d’avoir un site bien référencé.
Le benchmark est-il utile dans le référencement d’entreprise ?
Le benchmark est une forme d’étalonnage, de comparaison en quelque sorte d’une entreprise à une autre. En référencement naturel et même en référencement payant, il est possible d’établir des éléments de comparaison entre les différents acteurs sur un même marché. C’est globalement intéressant de tirer de l’information des sites concurrents, y compris pour une stratégie de marketing plus globale (Notez qu’il existe différentes manières de faire du benchmarking). Mais on ne se cachera pas ici qu’il n’existe pas tant de méthodes de différenciations sur les leviers que sont le SEO et le SEA. En tous les cas, les techniques sont plus ou moins les mêmes en fonction des critères d’objectifs que nous définissons ensemble. Attention, lorsque j’évoque le peu de singularité dans les stratégies de référencement d’entreprise, je n’oublie pas que l’on peut être plus ou moins agressif, plus ou moins en relation avec la demande directe, plus ou moins sur un secteur concurrentiel à fortement concurrentiel impliquant une réflexion d’une autre nature. Mais je vais résumer les méthodes de manière tout à fait triviale :
- Vous avez besoin d’un code propre pour votre site (et riche d’éléments adaptés aux moteurs),
- Vous avez besoin de contenu,
- Vous avez besoin d’une belle arborescence répartie sémantiquement,
- Vous avez besoin d’un maillage interne,
- Vous avez besoin de plus de popularité (des backlinks).
Ceci veut dire que s’il faut regarder les concurrents, c’est principalement sur certains points et notamment la manière dont est fait le netlinking. Pour le reste, la logique issue d’un mind map et d’un plan de marketing annuel doit suffire à mieux ranker. De toute manière les concurrents éprouvent les mêmes besoins.
Les éléments de différenciation dans le référencement naturel des entreprises
Comme je l’évoquais juste au dessus, les éléments de différenciation sont plus limités. Toutefois, on remarquera que nombre d’entreprises reposent leur stratégie sur des éléments comme le storytelling ou encore le backlinking et c’est là que l’on peut avoir des marges de manœuvres intéressantes. Ces critères qu’il convient d’analyse ne répondent pas forcément à l’approche qui consiste à évaluer la conversion. Évaluer la conversion, ce n’est pas simplement regarder le taux de conversion à l’aune de l’indicateur dans votre profession ; On parle plus volontiers de donnée brute et je m’explique pourquoi : Lorsque vous augmentez la performance d’un site Internet du point de vue du référencement naturel, vous augmentez potentiellement le trafic y compris celui issu de la longue traîne. Dès lors, votre trafic augmente alors même que le marché que vous ciblez reste relativement identique en volume.
La conséquence dans Google Analytics est la suivante : Augmentation du taux de rebond et baisse du taux de conversion. J’avais ici la particulière envie de rappeler que voir son taux de conversion baisser sur du SEO mais sa valeur brute augmenter, c’est non seulement normal, c’est souhaitable ! A vous et à nous de trouver les vrais bons indicateurs clés de la performance (KPI) comme le nombre et la qualité des positions dans Google par exemple.
Vous n’êtes pas satisfait de cette remarque et je vous comprends. C’est ici qu’intervient un autre éléments de différenciation : L’expérience utilisateur. On pourrait même considérer ce point comme le premier à observer (nombre de professionnels font ainsi à tord selon moi). L’expérience utilisateur (UX), c’est le dernier éléments qui permet d’améliorer la conversion (Et là, j’espère que vous avez bien lu ce qui précède 🙂 )
Au-delà, j’avais déjà exprimé mon opposition au fait d’avoir une concomitance entre la satisfaction de l’utilisateur et un taux de rebond élevé dans Google Analytics sur l’excellent site d’Olivier Duffez. Non, satisfaction et plus loin UX sont des éléments à prendre en compte du point de vue référencement dès la SERP et pour une entreprise dans ses propres process tout au long des relations clients – collaborateurs – partenaires- fournisseurs. J’aime la notion d’entreprise relationnelle et de stratégie d’inbound marketing accomplie. En un mot : La prospection passive et la fidélisation, c’est bien, l’appropriation comme design d’entreprise, c’est mieux.
Maîtriser son image de marque par le référencement d’entreprise
Souvent, on nous contacte pour des problèmes d’E-reputation. Un défaut de visibilité est un problème récurrent qui génère également des problèmes sur le long terme. Sans suivi client, sans cocooning de votre marché et sans présence sur Internet avec :
- Un site Internet bien référencé,
- Du storytelling et de la démonstration d’expertise,
- Du blogging,
- De la vidéo utile sur YouTube
- Un travail de fond sur les réseaux sociaux…
Vous êtes assuré de voir du négatif apparaître quel que soit le niveau de votre entreprise dans un marché qui demande plus de relationnel. Centralisez ici toutes vos ressources et faites en sorte que le digital soit l’affaire de tous vos collaborateurs, cela participe de la culture de l’entreprise et cela se sent, se transmet, s’apprécie et se comprend. Si vous avez besoin d’un diagnostic de votre e-reputation, contactez-nous.
Merci pour cet article.
En effet, un marketing digital bien mené repose essentiellement sur une production continue de contenus à forte valeur ajoutée.
Auparavant, on pouvait se permettre de les multiplier sans trop se soucier de leur qualité, afin de s’attirer les faveurs de Google. Aujourd’hui, il faut faire en sorte de les soigner au maximum, car l’IA est capable de distinguer les tares et les internautes sont de moins en moins dupes.
Toutefois, les techniques de Growth Hacking prennent de plus en plus d’ampleur, dans le but d’être capable de se positionner correctement dans cette grande cacophonie, que représente le web.