Faire du SEO sans backlink : Pourquoi c’est saugrenu de se priver du levier

Par Xavier Deloffre

À intervalles réguliers, un débat ressurgit dans les sphères du référencement naturel : Peut-on réellement faire du SEO sans backlinks ? La tendance n’est pas nouvelle, mais elle connaît un regain d’intérêt depuis que Google, il y a maintenant quelques temps, par la voix de Gary Illyes et John Mueller, a annoncé que les liens entrants étaient devenus « moins importants » dans l’algorithme de classement. Résultat : De nombreux consultants SEO relaient l’idée qu’il serait désormais inutile, voire dépassé, de miser sur les backlinks pour positionner un site. Cette vision séduit : Elle repose sur l’idée d’un SEO plus éthique, moins cher, et recentré sur la qualité intrinsèque du contenu. Pourtant, cette approche omet plusieurs réalités fondamentales. Elle repose souvent sur des incompréhensions techniques, une mauvaise lecture des guidelines de Google, ou tout simplement un manque d’expérience terrain. Dans cet article, nous allons déconstruire cette croyance et expliquer pourquoi, même de nos jours, vouloir faire du SEO sans backlink reste une idée pour le moins… saugrenue. Spoiler : Oui on peut ranker sans BL mais lisez la suite, c’est un sujet hors-jeu 😉

Pourquoi cette mode anti-backlink refait surface en SEO aujourd’hui

Depuis 2023, plusieurs figures de Google (Gary Illyes en tête que, précision, j’apprécie par ailleurs dans ses podcasts pour ne pas raconter du bullshit comme d’autres le font à longueur de journée) ont affirmé que les backlinks n’étaient plus essentiels pour bien classer une page. En 2024, Google a même modifié sa documentation pour retirer le mot « important » lorsqu’il est question des liens entrants dans l’algorithme. Ces signaux ont alimenté une vague d’articles et de consultants prônant un SEO “sans lien”. Cette tendance n’est pas nouvelle, mais elle connaît un regain de vigueur alimenté par plusieurs idées reçues :

  • Les backlinks seraient devenus trop coûteux à l’achat,
  • Ils enfreindraient les guidelines de Google,
  • Le netlinking serait dépassé à l’ère du contenu de qualité,
  • Les pages optimisées « se positionneraient naturellement ».

Pourtant, cette posture reprise à l’envi par des consultants SEO repose sur une mauvaise compréhension technique du fonctionnement réel du netlinking et de la manière dont Google interprète les signaux de popularité. Reprenons ces idées une à une, avec une lecture ancrée dans le terrain.

Le prix d’un lien ne dit rien de sa valeur SEO

L’idée selon laquelle un lien à 10 € serait “forcément mauvais” est infondée. Il est tout à fait possible qu’un lien acheté à bas prix apporte plus de link juice qu’un lien facturé 1 000 € sur un média généraliste. Pourquoi ? Parce que ce n’est pas le tarif qui détermine la puissance d’un lien, mais :

  • sa position dans la page (dans le corps principal, au-dessus de la ligne de flottaison),
  • la sémantique environnante et la thématique du site source,
  • le contexte éditorial et la fluidité d’intégration du lien,
  • le fait qu’il soit bien en dofollow (et crawlable),
  • l’ancre utilisée (exacte, partielle ou brandée, selon l’objectif).

Par exemple, un lien inséré dans un article thématiquement proche, hébergé sur un site modeste mais bien positionné, peut transmettre un signal très puissant. À l’inverse, un lien noyé dans le footer d’un gros éditeur généraliste, sur une page peu visitée, sans cohérence sémantique, aura un impact quasi nul malgré son prix élevé. Ce qui compte, c’est donc l’architecture du lien, sa capacité à transférer de la popularité et à être interprété comme un vote pertinent, pas son coût facial. En clair, si vous achetez, il faut savoir acheter…

La question de savoir s’il faut acheter des liens n’est pas le sujet, désolé, on s’en fout de ça, lisez la suite.

Le netlinking ne viole pas les règles tant qu’il est maîtrisé (sic)

Oui, Google interdit formellement l’achat de liens dans ses guidelines. Mais il est temps de poser les bonnes questions : Est-ce que le véritable enjeu réside dans le respect aveugle des directives d’un géant du Web qui façonne unilatéralement les règles du jeu ? Ou dans la capacité d’un lien à produire une performance mesurable et durable pour un site, en termes de visibilité, de trafic, et de légitimité ? Le vrai « Google dépendant » est celui qui ne comprend pas cela.

Ce que beaucoup oublient, c’est que le lien hypertexte est à la base même du Web. Le backlink est un prolongement logique et fondamental de l’architecture du Web originel : Il crée des ponts entre les contenus, oriente la navigation, tisse des relations sémantiques. Le réduire à un simple signal SEO manipulable, c’est passer à côté de sa véritable portée : Un lien peut apporter du trafic direct, renforcer l’autorité perçue d’un site, et inscrire une marque dans un écosystème thématique cohérent. Ce n’est pas une simple technique de positionnement, c’est un acte éditorial. C’est un acte qui dépasse largement le contexte du SEO lui-même !

Et franchement, entre un backlink bien placé, issu d’un site sémantiquement proche, dans un contenu contextuel et en dofollow… et une simple citation de nom, adresse, téléphone (NAP) sur un annuaire local bas de gamme, le choix est vite fait. Le backlink a un pouvoir d’influence, de trafic et de conversion bien supérieur à n’importe quelle citation. Même en SEO local, une stratégie de liens bien pensée est souvent plus efficace qu’une accumulation de signaux passifs.

En réalité, ce n’est pas l’achat du lien qui pose problème, c’est sa mauvaise intégration. Les pénalités, qu’elles soient manuelles ou algorithmiques, ne tombent pas parce qu’un lien a été acheté. Elles tombent lorsqu’un schéma global de liens devient flagrant, artificiel, incohérent ou répétitif. Un lien contextuel, éditorialisé, pertinent, inséré dans un contenu qualitatif, avec une ancre maîtrisée, n’a aucune raison de générer un signal de spam.

Le netlinking n’est pas une entorse à des pseudo-règles quand il est fait avec stratégie et bon sens. C’est un acte de communication numérique bien au-delà du pauvre SEO, c’est un vecteur de performance, et un pilier toujours actif de la visibilité organique au sens large.

Il est vrai que peu de liens suffisent, mais encore faut-il les bons

Un point souvent mal compris : Non, il n’est pas nécessaire d’avoir des centaines de backlinks pour bien se positionner. Un seul lien bien placé peut faire décoller une page (Je rappelle ici que le backlink posé intelligemment, comme j’ai pu le voir dans une vidéo virale, ce n’est pas un lien d’un site à l’autre mais d’une url à une autre). La condition de la performance ? Que tous les autres aspects du SEO soient maîtrisés :

  • Structure technique propre,
  • Contenu pertinent, aligné avec l’intention de recherche,
  • Expérience utilisateur fluide,
  • Maillage interne efficace,
  • Page bien ciblée sémantiquement.

Dans ce contexte, le lien joue un rôle d’amplification. Il n’est pas toujours déclencheur, mais il agit comme un levier de consolidation et de différenciation sur des pages déjà bien construites. C’est la raison pour laquelle, comme l’illustre le cas analysé dans le graphique ci-dessous, une campagne de netlinking bien ciblée peut à elle seule générer une montée forte de trafic, même en l’absence d’autres leviers activés. Dans ce cas, la stratégie de netlinking s’est appuyée sur un ciblage ultra-précis, avec des pages satellites optimisées uniquement poussées par des liens externes, et les résultats ont suivi : visibilité accrue, trafic qualifié, ROI mesurable.

Est-ce conseillé en toutes circonstances ? Non. Le netlinking ne doit pas être le seul levier activé, mais dans certaines configurations (secteurs de niche, temporalité courte, structure existante solide), il peut produire un effet de levier majeur.

Il faut absolument démystifier le netlinking

Il faut sortir du débat caricatural entre “SEO propre sans lien” et “SEO artificiel avec backlinks achetés”. Le netlinking est un outil, comme les autres. Ni magique, ni à bannir, l’éthique n’est absolument pas un argument ici, Google est-il éthique, sérieusement ? De fait, c’est un levier stratégique qui fonctionne quand il est :

  • contextualisé,
  • pertinent sémantiquement,
  • techniquement bien exécuté.

Le lien n’est pas mort. Il a simplement changé de rôle. Moins visible, plus subtil, mais toujours essentiel dans l’équation globale du SEO. La croyance que l’on peut faire du SEO sans backlink repose sur des cas très particuliers ou sur une méconnaissance profonde des signaux algorithmiques. Et comme souvent dans le SEO, ceux qui pensent qu’un levier est devenu inutile… sont généralement ceux qui ne savent pas bien l’utiliser.

Un point aussi que j’ai pu voir en vidéo : J’entends ici et là l’impact du backlink sur les LLM. Soit, ok, mais là encore ce n’est pas l’argument qui me parle à ce jour. Je vous renvoie à cet article sur le trafic généré par Google in the World.

La preuve par l’exemple : Une campagne de netlinking bien construite

Spoiler : Le netlinking ne suffit pas, ne suivez l’exemple qui suit si vous n’y connaissez rien ou si vous avez la possibilité de faire encore plus par ailleurs ! Nous vous donnons d’ailleurs suffisamment de tips sur ce blog pour que vous ayez conscience de cela. Mais au-delà des principes et des débats idéologiques sur l’achat de liens ou la conformité aux guidelines de Google, ce qui compte réellement, c’est la performance. Et c’est exactement ce que montre le cas analysé dans la campagne jointe : Sur un site Internet, dont le trafic a augmenté en seulement trois mois, avec une stratégie reposant quasi exclusivement sur du netlinking :

performance netlinking

Trafic d’un site full SEO, pas de contenu supplémentaire, petite progression de 11% de trafic N-1 comme évoqué dans ma dernière conférence sur le référencement.

Les détracteurs diront : Et si vous faites autrement, vous aurez plus. Fort possible mais là encore, prenez la mesure de l’existant et de ce que vous êtes en mesure de réaliser. UX etc OK sur le site, contenu OK (bien sûr qu’on peut toujours plus storyteller et j’invite à le faire). Le site est sur des top positions concurrentielles, durablement.

De fait, dans cette campagne, aucune autre action SEO significative n’a été menée en parallèle (pas de refonte technique, pas de production de contenu massif, pas de refonte UX). Seul levier activé : Une construction ciblée de liens externes sur des pages satellites optimisées. Résultat :

  • Augmentation continue du trafic organique,
  • Acquisition de trafic qualifié sans coût par clic,
  • Retour sur investissement mesurable à moyen terme,
  • Gain de crédibilité sur des requêtes intentionnistes précises.

Ce cas démontre que le netlinking n’est pas un levier accessoire, mais un catalyseur de visibilité. Même lorsqu’il agit seul, il peut faire décoller une stratégie SEO dormante. Bien sûr, cela ne signifie pas qu’il faille se contenter de liens externes pour toujours. Mais dans certaines configurations (notamment avec une base saine et des contenus bien ciblés), une campagne bien construite suffit à enclencher un cycle vertueux : Plus de visibilité = plus de clics = plus de backlinks naturels = encore plus de visibilité. Je précise encore ici que même si la performance est au rendez-vous, ce n’est pas une fin en soi de faire du backlinking de manière systématique ou en faire le fer de lance de la stratégie SEO, en aucun cas vous ne m’entendrez dire cela.

Mais cette approche voulue pour la démonstration est également un excellent moyen de prouver qu’un bon backlink a plus de poids que la simple citation locale. Là où un annuaire local génère un signal passif, peu cliquable, et à faible autorité, un lien bien choisi apporte tout : jus SEO, trafic référent, ancrage thématique, et parfois même des conversions directes. Le SEO reste un levier économique, durable, ciblé et à fort ROI. Et dans cette équation, le netlinking (quand il est bien pensé) reste une des composantes les plus puissantes à activer.

les arguents anti backlinks en SEO

Les sites qui rankent sans backlinks… sont rapidement backlinkés

Voici un paradoxe que l’on observe systématiquement en SEO : oui, une page de très bonne qualité, techniquement irréprochable et parfaitement alignée avec l’intention de recherche, peut atteindre les premières pages de Google sans backlinks initiaux. Mais cette exposition en elle-même déclenche une dynamique incontrôlable : Dès qu’une page devient visible, elle commence à être naturellement linkée. Et cela inclut tout type de lien : Du blog spécialisé au forum obscur, en passant par les fameuses fermes à liens, les agrégateurs automatiques, les annuaires ou les pages scraperisées. C’est une mécanique que personne ne contrôle réellement : dès lors qu’une page est bien positionnée, elle attire l’attention, elle est copiée, intégrée, référencée. Autrement dit, le backlink finit toujours par entrer dans la boucle, qu’on le veuille ou non.

C’est pour cela qu’il est illusoire de prétendre faire du SEO sans lien. On ne fait peut-être pas de netlinking actif, mais dès qu’une page performe, elle se retrouve backlinkée, parfois de manière incohérente mais presque jamais problématique. Ne pas piloter sa stratégie de lien, c’est donc laisser les autres créer votre profil de liens à votre place, sans aucune maîtrise sur la qualité, la sémantique ou le type de domaine référent. Et à partir de là, vous ne contrôlez plus rien : ni le jus reçu, ni l’image perçue de votre site, ni votre marque !

Le netlinking : Un levier de performance, mais aussi de défense éditoriale en SEO

Il faut également considérer un autre aspect souvent négligé : le netlinking est une stratégie défensive. Lorsqu’une page est bien positionnée, la meilleure façon de verrouiller sa place, c’est de construire de l’autorité autour d’elle. Un lien ciblé et pertinent sur une page stratégique peut suffire à faire la différence lorsque la concurrence tente de s’infiltrer dans les mêmes SERP.

Un site sans backlink sur une page clé est vulnérable. Il suffit qu’un concurrent moyen arrive avec deux ou trois bons liens pour déséquilibrer la position. À l’inverse, une page soutenue par un maillage externe solide est bien plus difficile à faire reculer. Elle a une base de popularité que Google interprète comme un signal de légitimité consolidée, une « preuve sociale » algorithmique.

Et il faut le dire franchement : je ne comprends pas les consultants SEO qui publient fièrement leurs positions, avec ou sans backlinks, sur des requêtes compétitives. Donner publiquement ce type d’information, c’est tendre la joue : vous offrez aux concurrents une feuille de route pour vous analyser, disséquer votre structure, vos points forts et vos faiblesses. En SEO, la transparence stratégique est une vulnérabilité. Toujours.

La vérité, c’est que :

  • On finit forcément par obtenir des liens, même involontairement,
  • Ne pas en maîtriser la qualité, c’est s’exposer à des signaux faibles ou toxiques,
  • Ne pas en faire volontairement, c’est se priver d’un bouclier stratégique,
  • Donner ses positions, c’est faciliter le travail de celles et ceux qui veulent vous les prendre.

Mais il est essentiel d’avoir une vision élargie : le netlinking est une pièce parmi d’autres dans un écosystème omnicanal. Il n’existe pas de stratégie SEO pérenne sans complémentarité des canaux. Pour performer aujourd’hui, il faut penser global :

  • SEO éditorial (arborescence, contenus ciblés, riches et accessoirement engageants),
  • SEO technique (arborescence, vitesse, indexabilité, mobile-first, données structurées),
  • SEO local (NAP, présence sur les fiches établissements, signaux de proximité),
  • UX et taux de rétention (comportements utilisateurs),
  • Notoriété de marque (branding, requêtes navigo),
  • Et oui… netlinking (popularité et signal extérieur de confiance).

Une stratégie SEO qui réussit sur la durée est nécessairement omnidirectionnelle. Chaque levier alimente les autres. Le netlinking donne de la crédibilité au contenu. Le contenu crée des opportunités de maillage. La technique rend tout ça accessible et exploitable. Et l’UX, elle, convertit, convertit ! (ça veut dire que ça met au panier !).

Le SEO n’est pas un jeu d’éthique, c’est un jeu de stratégie. Et dans cette stratégie, le netlinking reste un levier offensif, défensif, mais surtout complémentaire. Ignorer sa puissance, c’est perdre un atout décisif dans une guerre d’attention où chaque signal compte.

le backlinking naturel

Pour aller plus loin : J’en peux plus d’entendre parler d’éthique à toutes les sauces en SEO et particulièrement dans le référencement sans backlink

À chaque discussion un peu sérieuse sur le référencement naturel, il y a toujours quelqu’un pour agiter le drapeau de « l’éthique SEO ». Certains vont jusqu’à définir leur approche comme « white hat », « propre », « respectueuse des guidelines de Google », comme si cela donnait automatiquement du crédit à leur travail. Soyons clairs : Ce discours est non seulement lassant, mais il est surtout hors-sujet dans une logique de performance. L’éthique, c’est une notion personnelle, mouvante, façonnée par l’éducation, le parcours, la culture de chacun ; Très souvent il s’agit d’un biais cognitif. Elle n’est ni universelle, ni mesurable cette « fameuse éthique ». Ce qui est éthique pour l’un ne l’est pas pour l’autre. Tenter d’imposer une éthique (et parfois même façonnée genre morale unique (sic)) à un métier aussi technique, prosaïque, concurrentiel et évolutif comme le SEO, c’est à la fois naïf et inutile, possiblement dangereux par ailleurs.

Si vraiment le sujet vous intéresse (ce n’est pas du SEO) je vous renvoie à la lecture de La valse des éthiques de Alain Etchegoyen (et d’autres ouvrages du même auteur) ou, quasi imbuvable, à la morale exposée dans toute l’œuvre de Kant si ça vous titille..

Que dire par ailleurs de celles et ceux qui défendent une ligne de conduite irréprochable « parce que Google l’a dit » ? Il faut le rappeler : Google n’est pas une entité morale. C’est une entreprise privée, cotée en bourse, dont l’objectif est de générer du profit, d’optimiser ses parts de marché publicitaire, et de verrouiller son monopole sur la recherche. Rien de ce que fait Google n’a pour finalité l’intérêt général. Sa « lutte contre le spam » est motivée par la rentabilité, pas par des « considérations éthiques » ; Fini le « Don’t be Evil » au cas où vous n’auriez pas remarqué. Pendant que certains consultants SEO s’auto-censurent en respectant aveuglément les guidelines, d’autres (souvent les mieux positionnés) travaillent leur visibilité avec méthode, agilité et pragmatisme. Et soyons honnêtes : La concurrence ne s’embarrassera jamais de votre morale pour vous doubler. Si vous fondez votre stratégie sur des principes flous, vous laissez votre place à celles et ceux qui agissent concrètement. Le monde a certes besoin d’être changé, mais pas ici, Google n’est pas le web non plus…

Alors, que reste-t-il comme véritable ligne directrice ? La loi. Travailler dans le cadre légal, accompagner les clients en toute transparence, éviter la tromperie et respecter la propriété intellectuelle : Voilà les seules bornes valides d’une stratégie SEO responsable. Tout le reste (morale, éthique, sens du “propre”) est subjectif, variable, souvent instrumentalisé à des fins de communication ou de positionnement marketing.

Le rôle d’un professionnel du SEO, c’est de rendre visible, de générer du trafic, d’aider à capter l’attention et à convertir. Si les méthodes employées sont efficaces, mesurables, conformes au droit, alors elles sont légitimes. L’éthique ? Elle appartient à chacun. Et elle n’a pas sa place comme standard opérationnel dans un univers régi par la concurrence algorithmique. Un peu de sérieux, au-delà des aspects marketing et des utilisateurs, on parle à des robots non ?

Xavier Deloffre

Xavier Deloffre

Fondateur de Facem Web, agence implantée à Arras et à Lille (Hauts-de-France), je suis spécialiste du Web Marketing, formateur expérimenté, et blogueur reconnu dans le domaine du Growth Hacking. Passionné par le référencement naturel (SEO) que j'ai découvert en 2009, j'imagine et développe des outils web innovants afin d'optimiser la visibilité de mes clients dans les SERPs. Mon objectif principal : renforcer leur notoriété en ligne par des stratégies digitales efficaces et créatives.

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