Grey Hat, qu’est-ce qui peut donc bien se cacher derrière cette expression ? Et bien finalement c’est assez simple, nous vous avons présenté ces dernières semaines les concepts de black hat et de white hat SEO, et bien comme son nom l’indique, le grey hat seo se trouve entre les deux. Nous n’allons pas forcément dire à égale distance car il existera des référenceurs du chapeau à la couleur grisée qui tireront plus facilement du côté du chapeau noir et d’autres au contraire qui seront plus enclins à suivre les guidelines de Google à quelques rares exceptions près. Dès lors, comment définir les référenceurs qui entrent dans la catégorie grey hat et pouvons-nous donner et quelques exemples pour vous aider à les identifier.
- Définition de cette pratique entre deux eaux
- Quelques exemples de techniques qui se situent entre black hat et white hat
Définition Grey Hat SEO
Comme nous venons de l’évoquer et comme le nuancier de couleurs vous l’avez laissé deviner avant que nous n’abordions le sujet, le grey hat seo ou référencement avec un chapeau gris est un terme qui a été créé par la communauté des référenceurs pour pouvoir catégoriser ceux qui ne sont pas complètement des black hat sans pour autant être blanc comme neige comme Google aimerait qu’ils soient et qu’ils ne viennent pas perturber les résultats de son moteur de recherches.
La plupart du temps, les Grey Hat sont plutôt du genre à utiliser des techniques qui bien qu’étant prohibées dans les guidelines de Google ne sont pas pour autant des moulinettes automatisées qui vont créer des sites Internet et des linkwheel à la pelle. Il s’agit plus (si nous pouvons oser ce trait d’humour qui fera peut-être vous fera rire si vous dévorez cet article avec vos confrères au sein de votre agence de référencement naturel), de forcer le naturel. En effet, aux yeux de Google, comme le disait très justement une fois (je ne sais plus où et je ne sais plus quand, mais je l’ai retenu) Kévin Richard alias 512 banque, le simple fait d’utiliser l’autocomplétion en soit revient déjà à sortir des guidelines de Google.
Quelques exemples de pratiques qui se situent entre black hat et white hat
Comment ça se passe au quotidien ? Voici :
- L’inscription annuaire, voilà par exemple une technique qui pourrait être qualifiée de grey hat par exemple. En un sens, vous ne faites rien de mal, vous ne faites que communiquer sur la toile pour mieux faire connaître votre activité. Pourtant, aux yeux de Google, ce n’est pas naturel. En cherchant à récupérer un lien vers votre site web, vous ne vous limitez pas stricto-sensu aux liens naturels qui arrivent sur votre site à la faveur d’un contenu qui déclenche l’irrésistible envie d’aller y mettre un lien.
- Autre technique que nous pourrions évoquer ici aussi, le guest blogging. Savez-vous en quoi consiste cette pratique jugée un peu douteuse par Mountain View ? Si tel n’est pas le cas, rassurez-vous, nous vous expliquerons le concept dans un autre article très prochainement. En attendant, précisons simplement ici qu’en théorie le guest, aux yeux de Google, doit se faire sous l’égide d’une balise d’un lien nofollow ou, vraiment à minima d’utiliser un ancre de lien dés-optimisée. C’est là aussi le genre de chose qu’un référenceur grey hat pourra être amené à faire.
- Nous n’allons pas vous donner d’autres techniques ici, mais nous tenons à votre disposition si vous vous interrogez sur l’une ou l’autre pour vous indiquer s’il s’agit d’une technique grey ou non.