Qu’est-ce qu’une sauvegarde ? Définition & fonctionnement d’un back up

Par Xavier Deloffre

Perdre ses données du jour au lendemain, c’est un risque bien réel à l’ère du numérique. Que ce soit à cause d’une panne, d’un vol, d’une erreur humaine ou d’une attaque informatique, aucun système n’est infaillible. Pour s’en prémunir, la sauvegarde (ou back-up) est la solution incontournable. Mais de quoi parle-t-on exactement ? Quelles sont les méthodes existantes, les outils à privilégier et les bonnes pratiques à connaître ? Cet article vous plonge dans l’univers de la sauvegarde de données, de sa définition à son fonctionnement concret, pour vous aider à mieux protéger vos fichiers personnels ou professionnels.

Comprendre ce qu’est une sauvegarde et pourquoi elle est essentielle

Disparition de fichiers, panne matérielle, cyberattaque ou simple erreur humaine… Dans un monde de plus en plus numérisé, les données sont à la fois précieuses et vulnérables. C’est là qu’intervient une notion fondamentale mais souvent négligée : la sauvegarde, ou backup en anglais. La sauvegarde consiste à créer une copie sécurisée de données existantes afin de pouvoir les restaurer en cas de perte ou de défaillance. Elle est utilisée aussi bien dans un cadre personnel (photos, documents, fichiers importants) que professionnel (bases de données, systèmes d’exploitation, projets collaboratifs, etc.). L’objectif est de garantir la continuité d’activité, de prévenir les pertes irréversibles et de limiter les impacts d’un incident informatique.

Cette pratique, en apparence simple, repose en réalité sur un socle de techniques spécifiques. Car il ne s’agit pas simplement de « copier-coller » un dossier vers un disque externe : la sauvegarde implique des méthodes adaptées, des supports fiables, une fréquence régulière et une planification stratégique. De plus, avec la montée en puissance du cloud, de la virtualisation ou encore des menaces comme les rançongiciels (ransomwares), les méthodes de sauvegarde doivent sans cesse évoluer pour rester efficaces.

Pour bien comprendre l’enjeu, il est donc utile de revenir sur la définition précise du backup, ses différents types, ses cas d’usage et ses mécanismes techniques. C’est ce que nous allons explorer dans les sections suivantes, pour vous permettre de sécuriser durablement vos données, quels que soient votre secteur ou vos outils numériques.

Les évolutions dans l’histoire des sauvegardes

Le mot sauvegarde désigne le processus de copie et de stockage d’informations numériques dans le but de les récupérer en cas de besoin. Cette copie peut être enregistrée sur un autre support physique (disque dur externe, clé USB) ou bien dans un espace distant (serveur externe, cloud, NAS, etc.). Mais si cette pratique semble aujourd’hui banale, elle résulte de plusieurs décennies d’innovations technologiques. L’histoire des sauvegardes informatiques débute dans les années 1950, à une époque où l’informatique balbutiait encore. Les premiers systèmes de backup utilisaient des bandes magnétiques, un support fiable mais lent, volumineux et peu pratique. Les opérations étaient réalisées de manière entièrement manuelle par des techniciens spécialisés, et réservées aux grandes entreprises, universités ou institutions gouvernementales. À ce stade, la sauvegarde relevait plus de l’archivage que d’un processus régulier et automatisé.

Le tournant des années 1980 marque l’arrivée de l’informatique domestique, avec des ordinateurs personnels comme le Commodore 64 ou le Macintosh. C’est aussi l’ère des disquettes, qui permettent à chacun de copier des fichiers sur un support amovible. Bien que limitées en capacité (entre 1,44 Mo et 2,88 Mo), les disquettes deviennent la première méthode de sauvegarde accessible au grand public. Peu à peu, elles sont remplacées par les CD-R puis les DVD, offrant jusqu’à 4,7 Go d’espace, bien adaptés à la sauvegarde de fichiers multimédias ou de logiciels complets. Au début des années 2000, deux évolutions majeures changent la donne : d’une part, la baisse du coût des disques durs externes, qui deviennent des supports de sauvegarde rapides et fiables ; d’autre part, l’émergence d’Internet haut débit qui rend possible la sauvegarde distante. Des solutions comme Mozy, Carbonite ou Dropbox voient le jour, offrant la possibilité de stocker ses données personnelles dans des centres de données sécurisés. Cette période marque le début de la sauvegarde « en arrière-plan », automatique et discrète.

Depuis les années 2010, la généralisation du cloud computing transforme profondément les usages. Des services comme Google Drive, iCloud ou OneDrive proposent une synchronisation continue des fichiers, avec restauration instantanée en cas de suppression accidentelle. Dans les entreprises, des plateformes comme Veeam, Acronis ou Backblaze permettent des stratégies avancées de sauvegarde hybride (locale + cloud), avec des sauvegardes complètes de serveurs, de machines virtuelles ou de bases de données critiques. Les technologies de backup deviennent aujourd’hui intégrées aux systèmes d’exploitation eux-mêmes : Windows avec son « Historique des fichiers », macOS avec « Time Machine », ou Android/iOS avec les sauvegardes automatiques dans le cloud. Grâce à ces outils, l’utilisateur moyen peut retrouver ses fichiers ou restaurer son appareil en quelques clics, sans compétences techniques particulières. Et avec l’essor de l’intelligence artificielle et des algorithmes prédictifs, les futures générations de systèmes de sauvegarde pourraient même anticiper les risques de perte de données avant qu’ils ne surviennent.

De la bande magnétique au cloud intelligent, l’histoire des sauvegardes reflète l’évolution globale de l’informatique : plus rapide, plus accessible, plus résiliente. Mais elle rappelle aussi une vérité simple et intemporelle : aucune donnée n’est véritablement sûre tant qu’elle n’est pas sauvegardée.

Les différents types de sauvegarde

Il existe plusieurs façons de réaliser une sauvegarde. Le choix dépend du volume de données, de la fréquence des modifications, des délais de restauration attendus et des ressources disponibles (espace de stockage, bande passante, etc.). Voici les trois grandes catégories de backups utilisées en informatique :

Type de sauvegarde Fonctionnement et particularités
Sauvegarde complète
(full backup)
  • Copie intégrale de toutes les données sélectionnées, quel que soit leur état.
  • Simple à restaurer car tout est contenu dans une seule sauvegarde.
  • Requiert beaucoup d’espace de stockage et de temps, surtout si les fichiers sont volumineux.
  • Souvent utilisée en base d’un cycle hebdomadaire ou mensuel, avec d’autres types de sauvegardes en complément.
Sauvegarde différentielle
  • Copie uniquement les fichiers modifiés depuis la dernière sauvegarde complète.
  • Temps de sauvegarde plus court et consommation d’espace intermédiaire.
  • Pour restaurer, il faut la dernière sauvegarde complète + la dernière différentielle.
  • Permet une restauration plus rapide que l’incrémentielle tout en étant plus légère que la complète.
Sauvegarde incrémentielle
  • Ne sauvegarde que les fichiers modifiés depuis la dernière sauvegarde (complète ou incrémentielle).
  • Très rapide à exécuter, parfaite pour les sauvegardes fréquentes (ex : toutes les heures).
  • Nécessite toute la chaîne de sauvegardes (la complète + toutes les incrémentielles suivantes) pour restaurer.
  • Idéale pour économiser du stockage, mais plus complexe en cas de récupération.

Chaque type de sauvegarde répond à un besoin particulier. Dans la pratique, il est courant de combiner ces approches dans un plan de sauvegarde structuré : par exemple, une sauvegarde complète chaque dimanche, une différentielle chaque jour, et des sauvegardes incrémentielles toutes les heures. Ce type de stratégie assure à la fois fiabilité, rapidité d’exécution et souplesse de restauration.

Les supports de sauvegarde les plus utilisés

Le choix du support de sauvegarde est un élément déterminant dans la fiabilité, la rapidité et la durée de conservation des données copiées. Il dépend à la fois du volume à sauvegarder, de la fréquence des sauvegardes, du niveau de sécurité requis et du budget disponible. Certains supports conviennent mieux aux particuliers, d’autres sont réservés à un usage professionnel ou à grande échelle. Voici un panorama des solutions les plus courantes utilisées pour stocker les sauvegardes :

Support Caractéristiques
Disque dur externe
  • Support physique le plus répandu pour les sauvegardes locales.
  • Grande capacité de stockage (jusqu’à plusieurs To).
  • Connexion en USB 3.0 ou USB-C pour un transfert rapide.
  • Peut être automatisé avec des logiciels de backup dédiés.
  • Risque de perte ou de détérioration s’il n’est pas manipulé correctement.
Clé USB
  • Solution portable, simple et économique pour sauvegarder des fichiers précis.
  • Capacité plus limitée (de 8 à 256 Go en général).
  • Convient pour des documents temporaires ou des échanges manuels.
  • Pas idéale pour des sauvegardes automatisées ou à grande échelle.
Serveur NAS (Network Attached Storage)
  • Boîtier connecté au réseau local, utilisé comme serveur de stockage à domicile ou en entreprise.
  • Permet des sauvegardes automatisées, accessibles à plusieurs utilisateurs.
  • Peut intégrer plusieurs disques configurés en RAID pour sécuriser les données.
  • Requiert une configuration initiale mais offre une excellente souplesse à long terme.
Cloud (Google Drive, OneDrive, Dropbox, etc.)
  • Stockage distant hébergé par des fournisseurs tiers, accessible depuis n’importe quel appareil connecté.
  • Idéal pour les sauvegardes automatisées, la synchronisation et le travail collaboratif.
  • Repose sur une connexion Internet stable.
  • Limité par des quotas (gratuits ou payants) selon les plateformes.
  • Les données sont chiffrées, mais leur confidentialité dépend aussi de la politique de l’hébergeur.
Bande magnétique (LTO, DLT…)
  • Technologie ancienne mais encore utilisée dans les grandes entreprises et datacenters.
  • Excellent pour l’archivage sur le long terme (plusieurs décennies).
  • Très faible coût au gigaoctet une fois l’équipement amorti.
  • Lecture et écriture séquentielles, peu adaptées aux restaurations rapides ou fréquentes.
  • Requiert un lecteur spécifique et une infrastructure adaptée.

Dans la pratique, une stratégie efficace combine souvent plusieurs de ces supports. Par exemple, une sauvegarde locale sur disque dur pour la rapidité et une sauvegarde cloud pour la sécurité en cas de sinistre (incendie, vol, etc.). C’est ce qu’on appelle le principe de sauvegarde en 3-2-1 : trois copies, sur deux supports différents, dont une hors site.

Comment fonctionne un système de sauvegarde étape par étape ?

La sauvegarde ne se résume pas à un simple copier-coller. Elle fait appel à un processus bien défini qui peut être automatisé et planifié selon des règles précises. Voici les principales étapes :

1. La sélection des données à sauvegarder

La première étape d’une stratégie de sauvegarde consiste à déterminer avec précision ce qui doit être protégé. Ce choix dépend du contexte, du niveau de criticité des données et des risques identifiés.

Dans un cadre personnel, cela peut concerner :

  • les photos et vidéos personnelles, souvent irremplaçables ;
  • les documents administratifs (factures, contrats, scans de pièces d’identité, etc.) ;
  • les fichiers de travail stockés localement (devoirs, présentations, projets créatifs).

Dans un environnement professionnel, la sélection est généralement plus vaste :

  • le système d’exploitation complet (avec possibilité de restauration intégrale après un crash) ;
  • les bases de données métiers (clients, produits, comptabilité…) ;
  • les serveurs d’application ou de messagerie ;
  • les configurations réseau, les scripts, les journaux d’activité ;
  • les répertoires partagés utilisés dans un contexte collaboratif.

Il est important de prioriser les données sensibles ou non récupérables en cas de perte. À l’inverse, il n’est pas toujours nécessaire de sauvegarder les fichiers temporaires ou les applications facilement réinstallables.

La mise en place d’un inventaire régulier des données critiques permet de s’assurer qu’aucune information essentielle n’est oubliée. Ce travail est d’autant plus utile dans les structures évolutives, où les besoins et les emplacements de stockage changent fréquemment.

selection des donnees a sauvegarder

2. La définition de la fréquence de sauvegarde

Déterminer la fréquence de sauvegarde est une étape essentielle pour garantir que les données les plus récentes ne soient pas perdues. Ce paramètre dépend directement du rythme de modification des fichiers, de leur importance stratégique et de la tolérance à la perte de données (appelée RPO – Recovery Point Objective). Voici quelques cas typiques :

  • Pour un site e-commerce ou une base de données client : Une sauvegarde automatique toutes les heures ou en temps réel (avec réplication continue) permet de garantir la disponibilité des données en cas de panne ;
  • Pour un site vitrine ou un blog personnel : Une sauvegarde quotidienne ou hebdomadaire suffit si les contenus sont publiés de manière moins fréquente ;
  • Pour des fichiers personnels ou créatifs : Une sauvegarde hebdomadaire ou déclenchée manuellement après une session de travail importante peut être appropriée.

Il est également recommandé de programmer les sauvegardes durant les périodes de faible activité (souvent la nuit), afin d’éviter de surcharger le réseau ou les ressources système. Ce principe de fenêtre de sauvegarde est souvent mis en œuvre dans les entreprises, où les opérations de sauvegarde peuvent affecter les performances des serveurs ou des postes de travail pendant la journée.

Dans un environnement professionnel, la fréquence de sauvegarde s’intègre dans une politique de continuité d’activité et peut faire l’objet de contrats SLA (Service Level Agreement), garantissant la récupération rapide en cas de problème.

frequence de sauvegarde

3. L’automatisation du processus de sauvegarde

L’un des piliers d’une stratégie de sauvegarde fiable repose sur l’automatisation. Confier cette tâche à un logiciel spécialisé permet de s’affranchir des contraintes humaines (oubli, mauvaise manipulation, délais) et d’assurer une régularité sans faille. L’automatisation concerne non seulement la planification des sauvegardes, mais aussi la sélection des fichiers, la gestion des versions, la vérification d’intégrité et l’envoi de rapports. Voici quelques fonctionnalités clés que proposent les outils de sauvegarde modernes :

  • Planification flexible : Possibilité de définir des horaires précis (quotidien, hebdomadaire, mensuel), ou de déclencher les sauvegardes à chaque modification détectée ;
  • Gestion des versions : Conservation de plusieurs états d’un même fichier, permettant de revenir à une version antérieure en cas d’erreur ou de suppression accidentelle ;
  • Chiffrement des données : Pour garantir la confidentialité, surtout lors de la sauvegarde vers le cloud ou un serveur distant.
  • Alertes et rapports : envoi de notifications par e-mail en cas de succès ou d’échec, ainsi que de rapports détaillés pour assurer un suivi précis.

Parmi les outils les plus utilisés, on retrouve :

Outil Usage principal
Time Machine (macOS) Solution intégrée pour la sauvegarde automatique sur disque externe ou serveur réseau
Cobian Backup Logiciel gratuit pour Windows, très flexible et adapté aux sauvegardes planifiées locales
Veeam Solution professionnelle pour serveurs, machines virtuelles et cloud hybride
Acronis Cyber Protect Sauvegarde et protection avancée avec antimalware intégré, pour particuliers et PME

Grâce à ces outils, la sauvegarde devient un processus discret, automatique, mais redoutablement efficace. Elle s’exécute en arrière-plan, sans interruption de l’activité, tout en assurant une traçabilité complète. Dans les contextes critiques, cette automatisation peut même inclure des tests réguliers de restauration pour valider l’intégrité des sauvegardes.
automatisation processus de sauvegarde

4. Le chiffrement et la sécurité des données de sauvegarde

Les données sauvegardées peuvent contenir des informations confidentielles, personnelles ou stratégiques : documents juridiques, données clients, mots de passe, informations financières, etc. Une fois copiées sur un autre support ou transmises via Internet, elles deviennent potentiellement vulnérables aux fuites, au vol ou à l’espionnage. C’est pourquoi il est essentiel de mettre en place un chiffrement solide pour protéger ces données tout au long du processus de sauvegarde.

Le chiffrement consiste à coder les données à l’aide d’un algorithme et d’une clé pour qu’elles ne soient lisibles que par un utilisateur ou un système autorisé. Il existe deux niveaux de sécurité complémentaires :

  • Chiffrement au repos : les fichiers sont cryptés sur le support de stockage (disque dur, serveur, cloud), empêchant leur lecture directe même en cas d’accès physique non autorisé ;
  • Chiffrement en transit : les données sont sécurisées pendant leur transfert entre la source et le support de sauvegarde, via des protocoles comme TLS ou HTTPS.

Les solutions de sauvegarde modernes, notamment dans le cloud (Google Drive, iCloud, Microsoft 365, etc.), intègrent par défaut un chiffrement de bout en bout. Certaines vont plus loin en proposant :

Mécanisme de sécurité Fonctionnement
Clé de chiffrement personnelle L’utilisateur définit sa propre clé, connue de lui seul, pour empêcher tout accès externe
Authentification multifactorielle (2FA) Ajoute une couche de sécurité lors de l’accès à l’interface ou aux fichiers sauvegardés
Signature numérique Permet de garantir l’intégrité des données sauvegardées et de détecter toute altération

Dans les environnements professionnels, la sécurité des backups est souvent encadrée par des normes (comme ISO/IEC 27001) ou des obligations légales liées à la protection des données (ex : RGPD en Europe). Le chiffrement devient alors non seulement une bonne pratique, mais une exigence réglementaire.

Enfin, il est recommandé de sécuriser aussi l’accès aux outils de sauvegarde : mot de passe fort, journalisation des accès, droits restreints selon les profils, et audits réguliers. Car une sauvegarde bien protégée est une assurance solide… mais mal protégée, elle devient une faille potentielle.

chiffrement et securisation des données

5. Les tests de restauration de sauvegarde

Une stratégie de sauvegarde efficace ne se limite pas à la création automatique de copies : elle repose aussi sur la capacité à restaurer rapidement et efficacement les données en cas de besoin. C’est pourquoi les tests de restauration sont une étape indispensable mais souvent négligée dans les plans de protection des données.

L’objectif est simple : s’assurer que les fichiers sauvegardés sont bien exploitables, qu’ils ne sont pas corrompus, qu’ils ont été enregistrés dans leur version la plus récente, et que le système de récupération est fonctionnel. Une sauvegarde réussie mais impossible à restaurer n’a aucune valeur.

Voici les principaux types de tests à mettre en place régulièrement :

  • Test de restauration partielle : récupération d’un fichier ou d’un dossier précis, pour vérifier sa lisibilité, sa date et sa conformité ;
  • Test de restauration complète : simulation d’un scénario de perte totale (attaque ransomware, panne critique…) avec remise en place d’un système complet à partir de la sauvegarde ;
  • Test de compatibilité : contrôle que le fichier peut être lu sur les systèmes actuels ou sur une machine différente ;
  • Évaluation des délais : mesure du temps nécessaire à la restauration, facteur essentiel pour les entreprises soumises à des engagements de continuité d’activité (SLA).

test de restauration de sauvegarde

Ces tests doivent être documentés et intégrés à un plan de reprise d’activité (PRA) en entreprise, ou à une routine de maintenance pour les particuliers. Il est également utile de nommer une personne responsable des vérifications et de prévoir une fréquence fixe (mensuelle ou trimestrielle selon la criticité des données).

Xavier Deloffre

Xavier Deloffre

Fondateur de Facem Web, agence implantée à Arras et à Lille (Hauts-de-France), je suis spécialiste du Web Marketing, formateur expérimenté, et blogueur reconnu dans le domaine du Growth Hacking. Passionné par le référencement naturel (SEO) que j'ai découvert en 2009, j'imagine et développe des outils web innovants afin d'optimiser la visibilité de mes clients dans les SERPs. Mon objectif principal : renforcer leur notoriété en ligne par des stratégies digitales efficaces et créatives.

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