Constellations de données, des énigmes dans les courbes de trafic, poèmes cachés derrière chaque balise meta, j’exerce désormais depuis plus de 15 ans en avançant, patiemment et opiniâtrement, sur ce sentier sinueux qu’est le référencement naturel. Un chemin sinueux certes, surtout quand on est confronté aux premiers filtres de Google, mais heureusement vous connaissez l’adage : « à cœur vaillant, rien d’impossible ! ».Un métier que j’exerce depuis un peu plus de 15 et depuis près de 8 ans au moment où j’écris ces lignes au sein de l’agence de référencement naturel Facem Web où nous prenons un malin plaisir à évoluer en équipe dans ce sport de compétition qu’est le SEO.
Vous vous demandez peut-être comment on devient référenceur SEO ? Ce n’est pas un métier que l’on choisit dans une brochure d’orientation ou à un forum des métiers, encore moins quand on a découvert celui-ci à une époque où la pandémie qui occupe le terrain médiatique n’est pas celle de la Covid-19 mais celle de la grippe A/H1N1.
Vous l’aurez donc compris, je n’ai pas grandi en rêvant de balises meta ou d’audits de crawl puisqu’à l’époque où je suis entré dans le monde du travail, on ne parlait pas encore vraiment de la discipline et donc du métier.C’est autant un métier qu’on choisit qu’un métier qui vous choisit, parce qu’il sait aussi bien que vous que triturer l’algorithme régissant le fonctionnement des moteurs de recherche comme Google est un challenge qui vous passionne.Comment une machine peut-elle décider de la pertinence d’un contenu ? Quelle logique secrète régit l’ordre des résultats ? Mais surtout, surtout, comment structurer, optimiser, restructurer, réoptimiser… et à la fin faire en sorte que cette machine se prenne d’affection pour votre lien bleu dans ses résultats plus que de ceux de vos concurrents.
Il est important que vous compreniez que le SEO demande du temps pour être efficace. Au sein de notre agence de référencement, nous cherchons à vous faire comprendre comment être visible durablement, comment structurer vos contenus pour qu’ils soient compris autant par les humains que par les algorithmes, comment bâtir quelque chose qui tienne debout même quand l’algorithme décide de changer la météo.Et parfois, oui, je vous dirai que ce n’est pas une question de mot-clé, mais de message. Que ce n’est pas un problème de netlinking, mais d’angle éditorial. Que ce n’est pas en traquant des positions à la journée qu’on construit une autorité sur le long terme…
Au fil des ans, nous avons vu des sites sympathique en apparence ne jamais décoller et d’autres, pas nécessairement folichons à première vue, toucher en plein cœur leur audience. Il faut toujours de trouver ce point d’équilibre : rendre un site propre pour les moteurs, mais aussi et surtout efficace.
Et c’est là que je m’amuse le plus : quand je peux jongler entre stratégie, rédaction, maillage interne, et ces petits détails que personne ne remarque sauf Google et nous, référenceurs. Je suis de ceux qui pensent que les balises Hn sont des phrases qui méritent d’être entendues. Que l’architecture d’un site en dit souvent plus long que sa page d’accueil. Que la Search Console est bien plus instructive qu’un brief marketing.
Je ne vous vendrai jamais la lune. Ni la première place sur une requête ultra-concurrentielle en trois semaines. Mais je vous expliquerai pourquoi votre contenu mérite mieux. Pourquoi vos pages doivent respirer. Pourquoi votre site peut devenir un référent, à sa manière, dans son domaine.Et si vous êtes prêt à jouer le jeu – celui de la clarté, de la régularité, de la structure intelligente – alors on peut faire du bon boulot ensemble. Sans précipitation. Sans surpromesse. Juste avec un peu de bon sens, quelques idées solides et une stratégie bien ficelée.
Il y a une vraie satisfaction à voir un site remonter dans les résultats de recherche. À corriger ce détail invisible qui faisait tout coincer. À recevoir un message d’un client qui dit : « Je ne sais pas exactement ce que vous avez fait, mais ça marche ».Le référencement naturel, c’est beaucoup d’observation. Beaucoup de patience. Un peu de flair et surtout, du bon sens. Avec le client, avec ses contenus, avec ses objectifs. Parce qu’un bon SEO, c’est un interprète entre votre métier et la logique des machines.
Je peux vous parler d’indexation, de budget crawl, de backlinks. Mais ce que je préfère, c’est vous montrer concrètement ce qu’il faut faire. Et surtout pourquoi. Le but, c’est que vous soyez autonome, pas dépendant. Que vous compreniez ce qu’on met en place, que vous puissiez en parler vous-même, demain.Je crois aux partenariats de confiance, aux projets qu’on construit à plusieurs. Je crois qu’il vaut mieux un site modeste bien conçu qu’un mastodonte vide de sens. Et je crois qu’on peut faire du SEO sérieusement sans jamais se prendre trop au sérieux.
Je suis peut-être celui qu’il vous faut si vous cherchez quelqu’un qui ne va pas vous noyer sous les graphiques, mais qui prendra le temps de vous écouter. Quelqu’un qui saura vous dire quand votre idée est bonne, et aussi quand elle l’est moins. Quelqu’un qui s’enthousiasme pour un plan de site bien pensé, mais qui prend aussi le temps de vous demander ce que vous attendez vraiment de votre présence en ligne.
Parce qu’au fond, le SEO, ce n’est pas une discipline de techniciens. C’est une affaire de sens, d’intention, et de chemins qu’on décide de tracer ensemble même dans les méandres de Google.
Google est une entreprise titanesque dans le Web aui est en mesure d’imposer sa loi, de transformer son produit originel (le search) en machine à fric particulièrement efficace. Dans ce sujet est évoqué la manière dont tourne l’affichage des résultats payants dans la SERP : on noie le poisson entre le naturel et le payant pour (le bien ?) de l’utiisateur. Article que l’on peut considérer comme coup de poing 🙂
